
Le rapport parlementaire Riotton-Garin sur la définition pénale du viol, présenté le 21 janvier 2025, fait un constat juste et documenté sur l’impunité et les pièges du consentement. En revanche, sa conclusion, définir le viol comme un acte non consenti, est une réponse à rebours du constat, hâtive et inadaptée pour répondre aux manquements judiciaires.
Voir en ligne : « Inscrire le non-consentement dans la loi sur la définition du viol est au mieux inutile, au pire contre-productif »