La sexualisation à outrance des jouets date des années 90 pour essentiellement des raisons de marketing : repéres faciles pour les acheteurs, standardisation des produits, jouets moins échangeables pour plus de profits. Des codes couleurs appliqués aux jouets, rose ou violet pour les filles "héroïnes du quotidien", bleu gris ou noir pour les garçons "héros" d’univers exceptionnels, avec la création de 2 modes séparés. A qui la faute ? Et comment en sortir. Le rapport remis à la Délégation aux droits des femmes propose une série de mesures pour associer tous les jouets deux sexes pour jouer ensemble.
Les jouets : la première initiation à l’égalité
Un rapport de Chantal Jouanno et Roland Courteau