Le patriarcat ne semble pas égratigné par les manifestations contre les violences faites aux femmes, que ce soit celles du8 mars ou celles dédiées à « la lutte contre les violences faites aux femmes », terme abstrait qui occulte le vrai problème. Il est temps d’attacher autant d’importance à la lutte contre l’origine du mal qu’à la prise en charge des conséquences. Si nous ne faisons rien d’autre, les femmes victimes seront de mieux en mieux prises en charge mais leur nombre ne diminuera pas