Concurrence des établissements généralistes, lectorat au budget serré, équilibre financier fragile... Malgré l’explosion de la littérature féministe, les librairies militantes nées après #MeToo boivent la tasse.
Voir en ligne : “On ne peut pas être engagé et gagner de l’argent” : la difficile survie des petites librairies féministes