Les données montrent que le faible taux de poursuite n’est pas spécifique aux affaires de violences sexuelles et conjugales. Toutefois, ces affaires sont majoritairement classées au motif d’un manque de preuves, alors même que l’auteur est souvent connu et identifié.
Voir en ligne : Le traitement judiciaire des violences sexuelles et conjugales en France | Institut des Politiques Publiques – IPP