Le rapport à son·sa médecin est l’un des plus intimes. En période pandémique, plus que jamais, ils·elles rassurent et accompagnent. Mais cette expérience est loin d’être positive pour tou·te·s, notamment pour les personnes qui ne sont pas hétérosexuelles et cisgenres.
Si les minorités sexuelles et de genre font l’objet d’un mauvais traitement médical, c’est sans doute parce qu’elles n’existent pas dans la formation des soignant·es, si ce n’est sous un prisme pathologisant. Les médecins ont-ils·elles conscience que leur profession est traversée par l’hétéronormativité ?
Camille Regache s’entretient avec Baptiste Beaulieu, médecin militant et auteur.
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