A son tour, le milieu médical est touché par le mouvement post #metoo de dénonciation des violences sexuelles commises sur les femmes.
Il était temps. Les agressions et viols perpétrés dans le huis-clos des cabinets médicaux sont trop longtemps restés impunis. Les dénoncer, pour une victime, est presque aussi difficile que de raconter des faits d’inceste. Et les Conseils de l’Ordre des médecins, où siègent principalement des hommes, sont longtemps restés sourds aux plaintes des patientes. Quand elle est saisie la Justice elle-aussi peine à juger ces violeurs.
Voir en ligne : #Me too chez les médecins | LCP - Assemblée nationale